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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 13:40

Pour les animations d'été, l'office de tourisme a organisé une soirée " contes autour du lavoir " des recoins du Fuilet.

Autrefois les femmes se rencontraient au lavoir et c'était l'occasion de se parler, de se raconter des histoires, de colporter des rumeurs et ragots sur les gens du village. De parler de leur conditions de vie, de mariage, des enfants, ...

 

"ici, on lave le linge et on salit les gens" les histoires de Martine Mangeon, conteuse, a fait revivre ces moments l'espace d'une soirée.

 

lavoir.jpg

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 13:07

Le patronage

En  1906, l’abbé Oriou, vicaire au Fuilet créa sous le régime légal de la nouvelle loi 1901, le patronage St Martin, destiné à offrir des loisirs aux fuiletais.

Il fonda une clique ( fanfare) avec tambours et clairons, ainsi qu’une troupe théatrale.

En 1927 eut lieu la construction du patronage. Ce qui permit d ‘avoir une belle salle. De nombreuses pièces très connues y furent joués.

En 1937, lors du lancement du club de basket et d’athlétisme ; le patronage St Martin devint « l’intrépide St Martin ».

Pendant de nombreuses années, le patronage organisait une importante kermesse chaque été.


En 1999 l' intrépide St Martin fusionne avec la commune voisine St Rémy en mauges et devient le FRB.

Il y a actuellement 150 adhérents

frb.jpg


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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 15:10

Les loups

En Anjou, il y eut des loups jusque vers 1880.

Les loups étaient présents dans tous les esprits et la crainte était vive.

Nombreuses personnes ont été attaqué par ces loups dans nos régions broussailleuses et marécageuses.

En 1748, une prime de 40 francs était donnée pour la destruction d’un loup, 60 francs pour une louve. Pour percevoir la somme, il fallait présenter la tête du loup ou a défaut ses oreilles.



loup4.jpg

loup h10
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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 10:29

Dans les années 1670, la majorité des fuiletais ont des métiers manuels ; en majorité des laboureurs ( exploitants agricoles ) des potiers, tisserands, voiturier de personnes et de pots, charpentier. En moins grand nombre des maçons, sabotiers et meunier.

Au cours du XIX e siècle, le nombre d’employés augmenta : poteries, tuileries, tissages.

Les tisserands disparurent complétement.

Les impots de 1802 nos révèlent qu’ils existaient alors 17 poteries et 9 tuileries.

Les tuileries étaient considérés d’un meilleur rapport puisque leurs patentes étaient plus élévées.

Le nombre d’ateliers augmentent au cours du XIXe puis diminue pendant la première guerre mondiale et les années suivantes. Les contraintes économiques ne permettent plus la survie des ateliers, les gens sont alors mi-potiers, mi- cultivateurs.

En 1856, il y avait 156 personnes dans les poteries et 82 dans les tuileries. En 1954 il en restait encore 60 dans les poteries et 22 dans les briqueteries. Avec l’apparition des machines, la main d’œuvre a complètement chuté aujourd’hui.


  anc poterie bellevue2


La plus grosse activités fuiletaise a été ensuite la chaussure.

En 1919, les beaux frères Chupin et Guilbaud ont crée une manufacture de chaussons. Ces ateliers furent construit sur les landes de la croix des victoires et furent modernisés et agrandis au fil des années. En 1982, cet atelier employait plus de 200 ouvriers toujours dirigé par la même famille. Après des hauts et des bas. Elle a malheureusement définitivement fermé ses portes en 1998 laissant sur le carreau de nombreux fuiletais sans travail.


usine chaussure


L’agriculture fut aussi une activité importante au Fuilet, il y avait beaucoup de petites exploitations du au double métier (potier). En 1940, il restait encore 150 exploitations sur une surface de 1500 hectares (surface de la commune). Mais ce nombre fondit rapidement au cours des années. Les terres délaissées étaient reprises par des fermes voisines et agrandissaient ainsi leurs surfaces d’exploitations. En 1982 il n’en restait plus que 70 et encore moins aujourd’hui.

Une autre activité importante au siècle dernier était celle de la meunerie. On dit que « La treizenne » ruisseau qui parcourt le Fuilet et St rémy en mauges porte ce nom parce qu’il faisait tourner 13 moulins a eau. Il n’y a plu trace de tous ces moulins mais il y eu une activité certaine. Les propriétaires de ces moulins possédaient aussi des moulins a vent pour continuer l’activité l’été période ou l’eau venait a manquer.

D’autres métiers existaient mais en moins grand nombre.


Poterie 1


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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 13:35

Tous les historiens sont d’accord pour dire que l’Anjou est pauvre au XVIII ème siècle.

Les chemins sont en mauvais état et le sous sol argileux ne facilite pas l’entretien.

Pendant le saison pluvieuse, les voyages étaient rares même pour aller dans les communes voisines.

Le terrain humide et froid n’était guère propice a la culture des céréales. On semait juste ce qui était nécessaire pour payer les fermages et nourrir les bêtes.

Il y avait deux sortes de Landes : les landes permanentes et les landes temporaires.

Les landes permanentes, demeuraient toujours en landes et les habitants du Fuilet les connaissent bien parce qu’elles subsistent aujourd’hui. Des broussailles, des ajoncs, des genêts,…en abondance.

Les landes temporaires étaient ces champs laissés en jachère plusieurs années et remis en culture après avoir arraché la végétation et brûlé. Les cendres servant d’amendements.

Il était très pénible de les remettre en culture. Le sol rempli de racines d’ajoncs et de broussailles demandait un dur labeur.

Les mauges étaient un important pays d’élevage, il y avait beaucoup de troupeaux pour le travail de la terre et pour la viande. Les landes servait aussi de pâturages.


carriere argile


etang landes puiset


moutons1


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6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 13:57
Une pensée aux sinistrés vendéens qui j'espère sauront se relever de cette tempête.
A l'image de leurs générations précedentes qui ont combattus pour la liberté !

La guerre de Louis XVI menée contre les anglais aux cotés des jeunes Etats-Unis avait coûté beaucoup d’argent mais avait rendu à la France de nombreux avantages. Par le traité de Versailles, les anglais nous rendirent St Pierre et Miquelon, le Sénégal et les comptoirs des Indes. Cette guerre lointaine avait entraîné la reconstitution de notre marine.

Par contre, l’Angleterre protestante a mal digéré sa défaite et résolut de se venger.

Pour y parvenir, elle utilisa les loges maçonniques très puissantes en Angleterre et qui avaient beaucoup d’emprises sur les loges françaises.

Grâce à l’influence de ses sociétés, l’opinion fut travaillé pour aboutir à un résultat souhaité par personne : la destruction de la royauté et de la religion catholique.

Au début de 1788, des municipalités furent crées pour gérer les paroisses. Parmi les nombreuses mesures prise, un décret met les biens ecclésiastiques à la disposition de la Nation.

 C’est ainsi que le curé du Fuilet comme dans la plupart des cures dû se séparer de ses biens. En principe, les revenus du clergé devaient être assuré par l’état mais sous certaines conditions. Par exemple les évêques et prêtres devaient être élus et non plus choisi par le clergé et prêter serment et faire vœu d’obéissance a la nation. Ce que certains prêtres refusèrent. Ceux-ci sont pourchassés, emprisonnés, exilés ou tués. Ceux qui le peuvent vivent cachés dans les fermes ou les bois.


chouans-joubert


Tout ceci crée un vif mécontentement dans la population car la majorité des gens sont attachés à leurs curés de campagne.

Pendant ce temps les impôts augmentent et la colère gronde.

Et voici que soudain, un décret du 24 fév 1793 décide la levée de 300 000 hommes. Tous les citoyens de 18 à 40 ans non mariés, veuf et sans enfants doivent s’y présenter.

Le département du Maine & Loire dut fournir 6202 hommes. Le Fuilet rattaché a la Boissière sur èvre doit en réunir 32.

Le 12 mars 1793 a lieu à St Florent, le tirage au sort des mobilisés.

La révolte gronde, une bousculade commence, des coups de feu sont tirés, un gendarme est tué. Les canonniers tirent, il y a des morts et des blessés. Les jeunes appelés restent maîtres du terrain. C’est le début des guerres de Vendée.

Certains vont chercher Cathelineau, ceux du Fuilet vont chercher le marquis de Bonchamps. Il se met a la tête d’une armée muni de bâtons, de fourches et de faux.

Grâce à ses qualités de chef des armées, la troupe de Bonchamps sera l’une des meilleures ayant participé à l’épopée vendéenne.

Après quelques jours d’opérations, les soldats reviennent chez eux travailler puis repartent au moindre appel. Les troupes républicaines revenaient pour la mobilisation, les paysans redevenaient soldats pour défendre leurs foyers et leurs autels.

La Loire en crue ne facilite pas les uns et les autres ; de nombreuses familles sont massacrées.

En 1794 les républicains lancent sur la Vendée les « colonnes infernales ». chaque colonne devait détruire tout ce qui se trouvait sur leur chemin et massacrer hommes, femmes et enfants. Devant tant de cruautés, les vendéens n’ayant plus rien a perdre se battent farouchement. Ce printemps 1794 sera le plus meurtrier sur notre région.


Bonchamps

La chute de Robespierre met un peu de calme à la révolte et des efforts des gouvernants sont avancés. Mais comme les administrations ne mettent aucune bonne volonté à les appliquer. Charrette puis Stofflet reprennent les combats.

Au début de l’année 1796, ces deux chefs sont fusillés et mettent fin au combat mais il faudra la signature d’un concordat par Bonaparte et le Pape le 16 juil 1801 pour rétablir vraiment la paix dans nos régions.

Il était temps, le pays est en ruines 300 à 350 000 personnes sont mortes pendant cette guerre. Les maisons et les églises ont été pillé et incendié en grand nombre.

Définition importé de wikipedia

Charles Melchior Artus, marquis de Bonchamps, né en 1760 à Juvardeil en Anjou, mort le 18 octobre1793. Il était un militaire français, fils de Anne-Artus, marquis de Bonchamps, commandant des armées vendéennes pendant l'insurrection des royalistes contre la République durant la Révolution française.

jacques Cathelineau, né au Pin-en-Mauges le 5 janvier 1759 et mort à Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire) le 14 juillet 1793, était un militaire, chef royaliste des Vendéens, généralissime des armées vendéennes pendant la Révolution française. Il est souvent surnommé le Saint de l'Anjou.

Fils d'un meunier, Jean-Nicolas Stofflet naquit en Lorraine à Bathelémont le 3 février 1753 et mourut à Angers le 25 février 1796 ; il fut un chef militaire de première importance dans le soulèvement militaire de la Vendée, bien qu'il n'ait pas réussi à s'imposer comme patron de l'armée catholique et royale.

François-Athanase de Charette de la Contrie (21 avril 1763 à Couffé, près d'Ancenis, fusillé le 29 mars 1796 (9 Germinal an IV) à Nantes, militaire qui s'opposa, les armes à la main, à la République dans sa région du Pays de Retz au Sud de la Bretagne et dans le Bas-Poitou en Vendée. Il fut l'un des meilleurs chefs de ce mouvement insurrectionnel appelé la Vendée militaire (1793-1800), durant la Révolution française. Il fut surnommé "Le Roi de La Vendée", et Napoléon Ier écrira de lui : "Il laisse percer du génie".



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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 21:24

Tourner un bouton pour avoir l’eau semble normal de nos jours, mais il n’en a pas toujours été ainsi !

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Au Fuilet, autrefois les gens allaient chercher de l’eau dans le milieu du bourg à l’unique puit près du lavoir. Chacun défilait avec ses seaux et ses cruches en terre pour récolter ce précieux liquide qui était employé avec la plus grande économie.

Après de nombreuses démarches de la municipalité, le syndicat intercommunal d’alimentation en eau, dont la station de pompage est à Montjean, programma enfin une extension au Fuilet.

Le château d’eau du chêne- Hubert fut construit rapidement en mai 1963. il a une hauteur de 44 mètres et une contenance de 800 mètres cubes.

C’est donc en 1964 que les utilisateurs fuiletais purent bénéficier de l’eau de la Loire.

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Il en fut de même pour l’électricité. La première demande date de juin 1923.

C’est en 1928 que le conseil municipal décide de réaliser des travaux d’électrifications.

Le syndicat intercommunal d’électricité se charge de la réalisation des lignes, et la société nantaise d’électricité se charge de la partie commerciale.

C’est après la guerre 39-45, lors de la nationalisation que fut crée le service public d’EDF.

Quatre lampes furent installés pour l’éclairage du bourg et ce jusqu’en 1954.

Ce n’est q’après cette date que fut installé les extensions dans les villages alentours.

eclair orage


*Informations recueillies dans les bulletins municipaux et différents ouvrages sur le Fuilet.


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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 21:46

On attribue le nom des mauges à «  mauvaises gens » à cause des résistances anciennes à certaines autorités.

Mais il est une autre histoire qui dirait que César étant passé par ici aurait qualifié les mauges de « Pagus Métalgicus » pays du métal.

Il est vrai qu’on trouvait autrefois des gisements de fer au Puiset Doré. Peut-être aussi de l’or «  puisque le puits est doré ».

Le Puiset et le Doré sont deux communes distinctes qui se sont unifiés pour des raisons financières.

cesar

 

En 1910, fut trouvé des haches en silex datant de l’époque acheuléenne ( 400 000 – 100 000 AV JC ). Elles auraient servi d’armes et d’outils aux hommes vivants à cet époque qui auraient vécu dans des trous creusés dans l’argile recouvert de branchages.

Les recoins ont sans doute été défrichés par les moines de Marmoutiers au X ou XI ème siècle.

Sans doute de l’abbaye de Marmoutiers à  Tours (37 )

Marmoutier

Plus d'info ici

 Ils auraient crée la paroisse du Fuilet « Ecclesia de Faiacco ». Ils auraient cultiver le sol et fabriquer des poteries. Des objets en bronze ont aussi été découvert.

Les romains occupèrent notre région puisqu’ils exploitèrent les mines d’or ( à St Pierre Montlimart ). Lors de la remise en service des mines au XX è, de nombreux objets romains ont été découvert ainsi que des tuyaux en poteries. Qui l’on suppose devaient provenir des fabrications fuiletaises.

En 1949, l’eau de la Loire baissa si fortement à Ancenis qu’on y trouva les vestiges d’un port gaulois. On y a trouvé des vases et des cornes d’aurochs ( animal ressemblant à un bœuf aujourd’hui disparu )

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Pourquoi ce port existait-il ?

On peut assurément dire que c’était un port de commerce. Et les mauges étaient considérés comme la plus minières d’Europe. On y trouvait de l’or ( à St Pierre Montlimart ), de l’argent, du cuivre, du fer, du plomb et du charbon. Le Fuilet et le Puiset produisaient énormément de poteries.

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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 13:23

En France, les premières lignes de chemin de fer sont ouvertes dans les années 1830 dans la région de Saint-Etienne et entre Paris et Saint-Germain en Laye.

Pour le Maine et Loire, le premier train arrive en 1849 avec l'ouverture de la ligne de Tours à Angers, prolongée jusqu'à Nantes en 1851.

Plus tard, ce fut les réseaux secondaires.

En fév 1889, le conseil du Fuilet donne un avis favorable pour la réalisation d’une ligne Chateauneuf – Cholet en passant par Ancenis – le Fuilet. La demande sera renouvelé mais ne voit jamais le jour.

La construction de Cholet – Nantes avec embranchement Beaupréau – Chalonnes semble avancée. Le conseil du Fuilet avance ses arguments : l’exportation importante de poteries, tuiles et briques, le commerce de bestiaux et celles de blés et farines provenant de ses minoteries. L’importation sérieuse de bois, charbons et combustibles servant à la fabrication des terres cuites. Demande en conséquence que la gare desservant le Fuilet soit établit sur le territoire de la commune sur les landes des recoins au plus près des potiers.

Mais les potiers avancèrent le risque des trépidations pouvant faire écrouler les pots frais faits.

Craintes écoutées puisque le tracé fut éloigné, ce qui obligea par la suite les potiers à conduire leurs poteries un peu plus loin.

En mars 1896, le conseil municipal examine le projet de la ligne Nantes – Cholet avec station au carrefour des Epinettes ( limite Puiset-Doré ) et donne son accord.

 

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En 1911, le Fuilet exporte annuellement 1300 tonnes de farines, poteries, tuiles et briques et 2000 arrivages.

En 1926, il y avait 4 services journaliers. Cholet – Beaupréau – Nantes et retour. 2 services pour les voyageurs et 2 mixtes voyageurs – marchandises.

L’automotrice mettait 44 min pour aller de Beaupréau à Cholet, le train mixte mettait 1H10 pour faire ce même trajet, les temps d’attentes étant plus long. La distance était de 24 km.

 

Pta21-pont-de-la-D92-Montrevault-200

 

Durant la guerre 39-45, tous les moyens de transports étant disparus «  le petit train  » des épinettes a connu un très important regain d’activité.

Après la guerre, de nombreux ponts, voies et notamment le viaduc de Montrevault, furent détruit. Les transports routiers se réorganisèrent et sonnèrent le glas du « petit Anjou ».

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*Informations recueillies dans les bulletins municipaux et différents ouvrages sur le Fuilet.

 photos prises sur le web

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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 22:01

Notre région faisait partie de la baronnerie de Champtoceaux alors rattaché au Poitou très vaste ( séparé de l’Anjou par le Layon ).

Au XI è Champtoceaux est avec Angers et Nantes, une des principales cités de la région.

champtoceaux

                                on aperçoit l'église de Champtoceaux au dessus de la forêt

 

En 937, le duc de Bretagne délivra Nantes des normands et s’empara de vastes territoire du Poitou. C’est ainsi que notre région fut rattaché au diocèse de Nantes.

Vers 1040 fut institué des marches séparantes. St Florent et son territoire furent déclarés sans diocèse relevant du roi de France. Champtoceaux et Montfaucon furent attribué à l’anjou mais restaient attachés au diocèse de Nantes.

« Ils sont du diable d’Anjou et du bon Dieu de Bretagne » disait un proverbe populaire.

 

la patate champtoceaux

                                                   île de la Patache ( Champtoceaux )

 

Le concordat de 1801 unifia les limites des diocèses avec celle des départements, nos paroisses furent donc rattachées au diocèse d’Angers. C’est ainsi que les fuiletais devinrent angevins à part entière, après avoir été poitevins, pis mi-angevins, mi-bretons et avoir failli devenir totalement bretons.

Ils sont fous ces gaulois !

Asterix

 

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